Lectures de Novembre 2013

Lectures du mois de Novembre 2013

Rapide aperçu des livres terminés ce mois-ci.

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          Les secrets du passé de Anna Adams

Romance des éditions Harlequin. Bien mais prévisible.

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          Ne le dis à personne... de Harlan Coben

Très bon roman, qui se lit très facilement. L’intrigue est bien menée et jusqu’au bout on reste dans le doute.


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Lectures d'Octobre 2013

Lectures du mois d’Octobre 2013

Rapide aperçu des livres terminés ce mois-ci. En fait il n’y aura qu’un livre et en vérité je l’ai fini hier... ;-)

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          Le trône de fer, intégrale 4 de George R. R. Martin


Dans ce tome, on ne suis qu’une parie des personnages. Un peu dommage par certains côtés. Surtout que je vais devoir encore attendre longtemps pour découvrir la suite. Le tome 5 n’est pas encore sortit en français.
George R. R. Martin est le roi du suspense. Chaque chapitre nous laisse sur notre faim.
Dans ce tome, j’ai été plusieurs fois dégoutée par certaines scènes. Par exemple la bataille entre Brienne et Mordeur.

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Lectures de Septembre 2013

Lectures du mois de septembre 2013

Rapide aperçu des livres terminés ce mois-ci.

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          Les Lames du Cardinal T1 de Pierre Pevel

Roman de capes et d’épée, situé à Paris sous le règne de Louis XIII. On y retrouve tous les ingrédients qui ont fait le succès « des 4 mousquetaires » avec une dose de fantastique en plus. Les dragons existent et veulent récupérer leur suprématie sur le monde. Les lames du Cardinal, une élite travaillant dans l’ombre vont tenté de démasquer les complots et de protéger la France.
J’ai lu les trois tomes à la suite, sans m’arrêter. Au début, les nombreux personnages sont présentés. J’ai eu un peu peur de ne pas m’y retrouver mais l’auteur rappel régulièrement certains détails et liens entre les protagonistes. Les complots se suivent et s’entremêlent. La lecture est facile et instructive. On sens les recherches qui ont été réalisées pour l’écriture du roman. Les détails sur l’architecture, Paris (dont sa puanteur), les habitudes de l’époques, ... À lire.

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          Les Lames du Cardinal T2: l’Alchimiste des Ombres de Pierre Pevel


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          Les Lames du Cardinal T3: le Dragon des Arcanes de Pierre Pevel

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Lectures d'Août 2013

Lectures du mois d’Août 2013

Rapide aperçu des livres terminés ce mois-ci.

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          Le trône de fer, intégrale 3 de George R. R. Martin

Toujours aussi palpitant. À chaque fin de chapitre, on rage de savoir la suite des aventure de ce personnage. On doit alors se plonger dans la vision du suivant et rapidement, on est repris par le suspense. J’attends d’acheter le 4 avec impatience.

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          Les contes de Beedle le Barde de J.K. Rowling

Jolis contes qui nous changent des bien connus contes de moldus. Dommage qu’il n’y en a pas plus. Les commentaires de Dumbledore sont intéressants.



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Lectures de Juillet 2013

Lectures du mois de juillet 2013

Rapide aperçu des livres terminés ce mois-ci.

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          Le journal de Knightley d’Amanda Grange

Après « le journal de M. Darcy » inspiré de « Orgueil et préjugés » et « le journal du Colonel Brandon » (Raison et sentiments), il est logique que ce troisième volume enrichisse ma bibliothèque.  Cette fois, c’est le héros du roman « Emma » de Jane Austen qui est mis à l’honneur.  Comme pour Emma, cette histoire n’est pas ma préférée mais c’est toujours un plaisir de retrouver l’univers de Jane Austen. 

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          Le sumo qui ne pouvait pas grossir d’Éric-Emmanuel Schmitt

Lecture très rapide.  Ça commence à lasser.  Autant « La dame en rose » m’avait bouleversée, autant cette fois je suis restée indifférente, devinant la fin avant l’épilogue. 

-          Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson

En un mot, surréaliste. À lire.

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          Pourvu qu’elle soit rousse de Stéphane Rose

Critique
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Critique: Pourvu qu'elle soit rousse

Pourvu qu’elle soit rousse

de Stéphane Rose




4ème de couverture :

C’est l’histoire d’un homme qui aime les rousses. Petite ou grande, svelte ou dodue, jeune ou moins jeune, peu lui importe… pourvu qu’elle soit rousse. Inscrit sur Meetic où il discute avant de faire l’amour avec des rousses sans aucun autre critère de sélection que la couleur de leurs cheveux, il n’est pourtant jamais rassasié de leurs charmes. Qui se cache derrière ce collectionneur de rousses ? Obsédé sexuel monomaniaque ? Dom Juan du site de rencontre ? Entomologiste de la femme rousse ? Le sait-il seulement lui-même ? Son parcours initiatique dans les arcanes de la rousseur le lui dira. A la croisée du roman obsessionnel, du carnet de route pornographique et du road-movie introspectif, Pourvu qu’elle soit rousse se veut avant tout un éloge féministe de la différence et de la singularité.

Genre : Erotisme

Mon avis
:

Merci à Babelio et la Musardine pour ce troisième livre proposé en « masse critique ».

Que dire ?
Ce livre est une analyse des rousses d'un point de vue très subjectif. de (trop) nombreuses citations parsèment le texte. Psychologue, romancier, poète, … Tout ce qui parle des rousses semble bon à prendre pour étayer les théories de l'auteur. Je n'ai pas toujours tout compris et pour être honnête, je n'ai pas souhaité relire les passages en question.

Ce sont les passages plus terre à terre qui m'ont le plus amusée, les correspondances sur Meetic, les scènes de sexe, la description des différents personnages et leurs relations, …

Pour ce qui est de tous les clichés sur les rousses (tempérament, odeur, caractère, …) je ne sais pas trop bien quoi en penser. Une personne ne se limite pas à son physique mais n'étant pas rousse, je ne me suis pas braquée. Je ne sais pas si les rousses ont une odeur particulière ou sont prédestinées à avoir un « caractère spéciale ». J'aimerais avoir l'avis de vrai rousses sur ce livre.

En résumé, je me suis ennuyée 40% du temps. Je m'attendais peut être à autre chose. Plus d'histoire, moins de blabla.

J'aime beaucoup la couverture de cette édition. Je n'ai tout de même pas pu m'empêcher de la cacher dans le train. Je n'assume pas complètement mes lectures ! ;-)


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Lectures de Juin 2013

Lectures du mois de juin 2013

Rapide aperçu des livres terminés ce mois-ci.

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          Le trône de fer, intégrale 1 de George R. R. Martin

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          Le trône de fer, intégrale 2 de George R. R. Martin

La série étant très bien faite, il me tardait de savoir la suite.  Je me suis donc lancée dans la lecture des romans.  Un livre par saison, je devrais rapidement dépasser la série tv. ;-)  Ces romans sont très bien faits, remplis de suspense et de détails rendant l’intrigue très réaliste.  Seul bémol, la fin n’est pas encore écrite.  Il y a toujours un risque pour qu’elle ne le soit jamais… 

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          Divergent de Veronica Roth

Dystopie intéressante.  Il y a deux suites mais je ne sais pas encore si je vais me lancer. 



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Critique: Caroline chérie

Caroline chérie

de Jacques Laurent



4ème de couverture :

Au cours d’une partie de campagne au bois de Vincennes, le chevalier Gaston de Salanches fait connaissance, en ce 14 juillet 1789, de la ravissante Caroline de Bièvre, qu’il a croisée dans un bal. Quoique engagé, il entreprend l’éducation amoureuse de la mutine Tourangelle. Mais déjà, de Paris, leur parvient la rumeur de la Bastille...
Née sous le signe des voyages et des rencontres, poursuivie par la persécution des sectaires et par la convoitise des séducteurs, coici Caroline emportée dans la tourmente révolutionnaire. Afin de conserver intacts son honneur et sa vie, son fougueux tempérament la poussera à sacrifier sa vertu...
Fresque historique dans la tradition d’Autant en emporte le vent, Caroline chérie s’est vendu à plus de cinq millions d’exemplaires et a été traduit dans douze pays. Une série devenue phénomène de société lorsque la jeune aristocrate fut incarnée par Martine Carol, accèdant ainsi au statut de sex-symbol.

Genre : Historique, Romance.

Mon avis:

Merci à Babelio pour ce livre que j’ai reçu grâce à la masse critique.

J'ai tenu bon et je n'ai pas lu les autres critiques du livre avant d'écrire la mienne. Vous aurez donc mon avis sans influences extérieures, en positif ou négatif.

J'ai postulé pour ce livre car il m'a fait penser à "Angélique, Marquise des Anges" d'Anne et Serge Golon, que j'ai beaucoup aimé. J'ai espéré retrouver l'ambiance et la qualité de ce livre…

Le livre se lit facilement. Une fois dedans, on va jusqu'au bout assez rapidement. J'ai appris quelques éléments sur la révolution mais pas autant que je l'espérais. Caroline passe la plupart de son temps à fuir la guillotine et comme elle, on reste beaucoup dans l'ignorance de ce qui se passe à Paris. Cette première partie se passe de 1789 à 1794 et on ne parle jamais de l'exécution du roi Louis XVI! (janvier 1793)

Autre petite déception, j'avais espéré découvrir les coulisses de la cour, après avoir découvert celle de Louis XIV dans "Angélique". Mais on n'en parle pas.

Le quatrième de couverture et la préface insistent beaucoup sur la ressemblance avec "Autant en emporte le vent" de Margaret Mitchell. Je n'ai donc pas pu m'empêcher d'y penser tout le long de ma lecture et de comparer les deux héroïnes. Par plusieurs points elles se ressemblent. Elles sont égoïstes, coléreuses, très belles, elles vivent pendant une période troublée, leurs modes de vie sont détruits par la guerre, … Scarlett est une vrai peau de vache, mais elle reste attachante. On comprend ce qui attire Rhett Butler. Son caractère fort, sa volonté de fer, … Elle ne veut dépendre de personne, prend sa vie en main et assume ses actes. Je trouve Caroline bien fade à côté. Elle me semble fort stéréotypée. Une belle plante frivole avec des œillères. Le monde se désagrège autour d'elle, des gens se font tuer à la pelle et elle ne pense qu'à refaire son intérieur, s'acheter des robes, … Je comprends bien qu'elle fait l'autruche pour se protéger, mais là c'est une autruche de compétition. Après la façade de beauté, il ne reste rien, sauf une enfant gâtée qui ne voit pas ce qu'il y a de mal à mentir, tromper, …

Comme il est dit dans la préface, ce roman a été écrit pour devenir un best-seller. Il y est arrivé. On retrouve une bonne partie des ingrédients. Mais pour moi il manque le principal. Des personnages réalistes, attachants et qui ont de la profondeur. Le résumé et les références m'ont attirée dans ce premier tome mais je ne me lancerai pas dans la suite.

012



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Critique: Deuxième femme

Deuxième femme

de Caroline Pochon




4ème de couverture :

Hortense débarque au Fespaco, le festival de cinéma de Ouagadougou. C’est la première fois qu’elle vient en Afrique. Elle a le coup de foudre pour Seydou, ’le poète de Keur Massar’. Coup de foudre réciproque. Il l’invite dans son village près de la mer, au Sénégal. Là-bas, elle découvrira la véritable Afrique, pas celle des cartes postales. Il lui demande de devenir sa femme. Sa deuxième femme. Car Seydou est déjà marié. Très amoureuse, Hortense accepte. Elle va être initiée à la vie de deuxième femme au Sénégal, et perdre ses repères. Peu à peu, le sel de la mer rongera ses espoirs les plus fous...
Journal intime d’une passion africaine vécue jusqu’au bout, Deuxième femme met en jeu les limites psychologiques, les frontières culturelles, la spiritualité aussi bien que la sensualité. Le scandale y renoue avec l’amour fou. La complexité des relations Nord/Sud s’y déploie à travers une histoire où le romantisme couche avec la cruauté.


Genre : Littérature française

Mon avis
:

Merci à Babelio pour ce livre que j’ai reçu grâce à la masse critique.


Ce roman est écrit sous la forme du journal intime d'Hortense, jeune française passionnée par l’Afrique. Après une déception amoureuse et une dépression, elle décide de quitter sa ville et s’envole pour Ouagadougou. Là-bas elle rencontre le poète de Keur Massar. Ils tombent éperdument amoureux l’un de l’autre. Petit problème, il est déjà marié… Elle accepte l’inacceptable. Devenir la seconde épouse.


Les premières pages m’ont paru un peu bizarres. Quelque chose me gênait. Le texte est écrit comme on pense. Les verbes, lorsqu’il y en a, sont conjugués au présent. Ce sont souvent des suites d’idées, d’adjectifs qui donnent une sensation, une impression. Il m’a fallu un peu de temps pour m’habituée. Cette technique donne aux descriptions un côté personnel. Cette suite de mots fait apparaitre des images qui sont différentes pour chacun. On sent l’ambiance africaine. On sent aussi l’instabilité de la narratrice.


J’ai essayé de me mettre à la place de l’héroïne. Pas facile. A chaque obstacle, je me dis qu’elle va renoncer, faire marche arrière. Moi-même j’aurai déjà craqué depuis longtemps. Et non, elle respire un bon coup et se lance un peu plus loin dans cette histoire. J’ai eu d’autant plus de mal à la comprendre que je ne suis pas du tout attirée par la culture africaine. Où est sa limite ? Comment supporte-t-elle ça ? Immergée dans une culture complètement différente, être considérée par sa belle-famille comme un porte-monnaie ambulant, changer de religion du jour au lendemain, subir sans cesse de nouvelles épreuves avec de moins en moins de soutient de l’homme aimé. Et c’est là que j’ai été accrochée pour de bon. Je voulais savoir qu’elle était sa limite. J’ai imaginé plusieurs fins, que je n’aurai même pas envisagées au début. Mon état d’esprit a évolué au fur et à mesure de ma lecture. Je me suis laissée convaincre que cette vie n’est pas si mal. Comme elle, j’ai souhaité me débarrasser de la première épouse.


J’ai été contente de la fin. (spoiler) La réalité reprend le dessus. C’est un seau d’eau froide. Le retour en France n’est pas facile. Les gens semblent différents là-bas. Les sentiments aussi. Chacun retourne à sa vie après ces désillusions. On fait un trait sur cette aventure, … Pas tout à fait. Mon passage préféré arrive. La lettre de la première femme. On découvre alors les vrais sentiments de cette première épouse, trompée, humiliée, … Ce qu’elle pense à chaque étape de l’histoire, ses peurs, ses envies, sa colère, sa haine pour cette blanche … Et le travail qu’elle a fait sur elle pour pardonner. Et de tout ça, il reste l’amitié entre ces deux femmes.

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Critique: La couleur des sentiments

La couleur des sentiments
(The Help)

de Kathryn Stockett




4ème de couverture :

Chez les Blancs de Jackson, Mississippi, ce sont les Noires qui font le ménage, la cuisine, et qui s'occupent des enfants. On est en 1962, les lois raciales font autorité. En quarante ans de service, Aibileen a appris à tenir sa langue. L'insolente Minny, sa meilleure amie, vient tout juste de se faire renvoyer. Si les choses s'enveniment, elle devra chercher du travail dans une autre ville. Peut-être même s'exiler dans un autre Etat, comme Constantine, qu'on n'a plus revue ici depuis que, pour des raisons inavouables, les Phelan l'ont congédiée. Mais Skeeter, la fille des Phelan, n'est pas comme les autres. De retour à Jackson au terme de ses études, elle s'acharne à découvrir pourquoi Constantine, qui l'a élevée avec amour pendant vingt-deux ans, est partie sans même lui laisser un mot. Une jeune bourgeoise blanche et deux bonnes noires. Personne ne croirait à leur amitié ; moins encore la toléreraient. Pourtant, poussées par une sourde envie de changer les choses, malgré la peur, elles vont unir leurs destins, et en grand secret écrire une histoire bouleversante. Passionnant, drôle, émouvant, La Couleur des sentiments a conquis l'Amérique avec ses personnages inoubliables. Vendu à plus de deux millions d'exemplaires, ce premier roman, véritable phénomène culturel outre-Atlantique, est un pur bonheur de lecture.

Genre : Comédie dramatique.

Mon avis
:

Ça y est, je l'ai lu. Après en avoir tant entendu parler et lu toutes ses critiques positives, je ne pouvais pas passer à côté.

Et je ne regrette pas du tout. Je l'ai lu en quelques jours, malgré le boulot, ...

L'histoire est dynamique, avec les visions des différents personnages qui se succèdent, qui se répondent, ... On s'attache aux personnages, on en déteste d'autres.

L'histoire nous immerge dans les années 60. Ce livre ne raconte pas seulement le malheur de la communauté noir. C'est aussi une description du quotidien de cette époque, les relations entre les hommes et les femmes, entre les parents et les enfants, entre femmes, entre amies, entre blancs et noires, ... Tous les sujets y sont abordés. Ces fameuses 60s, "golden 60s". Personnellement, je n'aurais pas voulu y vivre, même en tant que riche blanche. J'ai retrouvé dans ce livre l'ambiance que j'avais déjà découvert dans le film "le sourire de Mona Lisa" et dans la série très réussie "Mad Men". Plein de règles, de convenances, de limites qu’on n’ose pas franchir, qu'on ne peut pas franchir, les inégalités de couleur et de sexe. La ségrégation y est très forte. On a l'impression qu'on est toujours au temps de l'esclavage. Et pourtant, seulement 50 ans nous séparent! Je me sens très loin de leur façon de penser, de vivre. Est-ce typique des USA?

Après cette lecture je suis soulagée de vivre à notre époque.


010


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