Chick-lit

Critique: Les menteuses, tome 1: Confidences

Les Menteuses, tome 1: Confidences

de Sara Shepard


Les_Menteuses_Tome_1


4ème de couverture :

Salut les filles… Surprise ! Vous savez qui vous parle ? Non, vraiment pas ? Il faut dire que depuis l’Affaire Jenna les pertes de mémoire vous arrangent bien… Mais moi je n’ai rien oublié et vous n’avez pas fini d’avoir de mes nouvelles. D’ailleurs j’espère que vous appréciez mes petits mails et textos amicaux qui vous rappellent que je suis là, tout près de vous… Car vous avez été de très très vilaines filles, Aria, Spencer, Emily et Hanna. Vous ne méritiez pas l’amitié d’Alison. Vous qui étiez comme les cinq doigts de la main, sa disparition ne semble pas vraiment vous avoir affectées… Il faut dire que vous lui aviez fait des confidences plutôt… compromettantes, hein ? Sa disparition vous est bien tombée pas vrai ? Mais maintenant c’est fini, vous allez payer… Je crois voir que vous perdez votre sourire les miss Perfection ! Il fallait y songer avant les filles, c’est pas beau de mentir ! – A

Genre : Chick-Lit

Mon avis
:

J’ai remarqué cette saga il y a longtemps mais je n’avais jamais sauté le pas de l’acheter. L’occasion c’est présentée récemment avec un pack des 8 premiers tomes pour 30 €.
N’ayant jamais regardé la série tv, j’ai eu un peu de mal au début avec tous les personnages. Les héroïnes sont décrites en quelques mots dans des chapitres très couts. J’ai hésitez à prendre des notes… Maintenant j’ai entamé le deuxième tome et ça va mieux. Je ne peux pas m’empêcher de faire la comparaison avec « 4 filles et un jeans » d’Ann Brashares, ou je n’ai eu aucun problème pour appréhender les quatre personnages principaux.
La lecture est facile et rapide. Le suspense reste entier. C’est le gros point fort de ces livres et c’est ce qui me fait continuer. Malgré mon éloignement de cet univers et le fait que je ne comprenne pas toujours leurs actions (ou inactions), l’auteur arrive à ce qu’on s’attache à ces quatre (pauvres) filles.
Mais à côté de l’histoire, il y a la forme. Là, il y a un « détail » qui me gêne beaucoup. Je l’ai remarqué au fur et à mesure de ma lecture et c’est devenu une source d’énervement pour moi. « Les marques ». L’auteur use et abuse des noms de marques. A croire qu’elle fait des placements de produit toutes les deux pages ! Un téléphone devient un Nokia, un Treo, un BlackBerry, … Chaque vêtement, bijoux, voiture, sac, biscuit, … a droit à sa marque comme si ça améliorait la compréhension de l’histoire, de l’ambiance ou je ne sais quoi ! Je suis peut-être vieux jeu, mais je trouve dangereux de matraquer des adolescents de nom de marque comme si c’était important, voir vital d’en avoir. Même sans ça on comprenait très bien dans quel monde on évoluait.
Je suis curieuse d’aller voir la série mais je vais attendre d’avoir fini les livres pour ne pas me spoiler.


017

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